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                           Je vous propose de découvrir ce soir, le rocher du Diamant en Martinique.C'est une petite île inhabitée située dans la mer des Caraïbes au sud-est de la Martinique, à trois kilomètres environ de la pointe du Diamant, dans le canal de Sainte-Lucie. L'îlot doit son nom aux reflets de ses parois à certaines heures du jour qui évoquent ceux d'une pierre précieuse.
     

                       Vestige de la forte activité volcanique qui a affecté cette région, voilà près d'un million d'années, cette île se présente comme un roc basaltique de 175 mètres de haut.

     

                      Couvert de broussailles et de cactées, difficilement accessible, le rocher a pourtant joué un grand rôle durant les guerres napoléoniennes. Le Diamant occupait en effet une position stratégique au nord du canal de Sainte-Lucie, permettant de contrôler la navigation entre la Martinique et sa voisine méridionale, Sainte-Lucie.

     

               Au début du XIX ème siècle, la guerre faisant rage aux Antilles entre la France et l'Angleterre qui tentaient de s'assurer le contrôle de cet arc insulaire, les Britanniques décidérent d'occuper l'îlot. En janvier 1804, profitant de l'effet de surprise et aidé par des conditions météorologiques favorables, le contre-amiral Samule Hood (à bord du HMS Centaure) s'empara du rocher du Diamant qu'il s'empressa de fortifier, installant cinq canons à son sommet (trois de 24 livres et deux de 18 livres).

                   Une garnison de plusieurs dizaines d'hommes (107 d'après certaines sources), placés sous les ordres du lieutenant Maurice, fut laissée sur place pour harceler la marine française. Les grottes servaient alors de dortoirs aux hommes (les officiers bénéficiant de tentes), pour pallier un ravitaillement incertain acheminé à l'aide de paniers hissés jusqu'au sommet grâce à des poulies et des cordes, un petit élevage de chèvres, de pintades et de poules se développa sur les maigres herbages du lieu. Position inexpugnable, le rocher se vit conférer par la marine britannique le titre honorifique de «navire de guerre » et devint le HMS (His Majesty's Ship) Diamond Rock.

                  Pendant dix-sept mois, les troupes françaises tentèrent de reconquérir en vain l'îlot, mais, en 1805, le gouverneur de l'île Villaret de Joyeuse, avec l'aide de l'amiral Villeneuve qui confia cette mission à une division commandée par le capitaine de vaisseau Cosmao Kerjulien, parvint à reprendre le Diamant aux Britanniques. La garnison, manquant de nourriture et d'eau (les citernes ayant été fissurées), se rendit aux forces françaises, le 2 juin 1805.

     

                D'après l'état des lieux de la Direction régionale de l'environnement de Martinique, le rocher du Diamant est probablement le dernier refuge d'un reptile endémique de la Martinique, la couleuvre couresse (Liophis cursor). Comme les 47 autres îlets qui entourent la Martinique, le rocher du Diamant possède ses propres caractéristiques écologiques, bénéficiant par rapport à l'île principale d'un ensoleillement plus important, de précipitations moindres et d'une période de sécheresse saisonnière plus longues. Ces spécificités, auxquelles s'ajoute l'absence d'occupation humaine permanente, a donc permis au rocher d'être le sanctuaire d'une espèce que l'on croyait disparue.

     


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              La réserve naturelle de la presqu'île de la Caravelle classée en 1976, est un havre de paix qui se visite à pied ou en bateau.
                 C'est une étroite bande de terre longue de 12 km.

             Avec ses falaises abruptes, sa multitude de pointes et de baies dentelées (celles du Galion, du Trésor, de Tartane), ses anses sauvages, ses mornes, sa faune et sa flore si particulières la presqu'île de Caravelle offre une visage authentique de la Martinique.

              Vous adorerez cet harmonieux mélange mer et nature.
     
     
     



              Assistez à un coucher de soleil en allant tout au bout vers le Château Dubuc.
    Aventurez-vous vers les petites plages discrètes qui longent la presqu'île. Vous devez pour cela emprunter les petits chemins qui traversent les champs de canne.

           L'Office National des Forêts a créé au départ du village de Tartane, deux sentiers balisés. Le premier vous fera appréhender l'écosystème de la mangrove, sorte de forêt lacustre entre terre et marais. L'autre sentier forme une boucle de Tartane, à la Station Météo, en passant par la pointe Caracoli et le château Dubuc, ruines d'une habitation d'une célèbre corsaire puis de riches exploitants de canne à sucre bâtie au XVIle siècle.

     


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           Ravissant village de pêcheur, Tartane est le joyau de la presqu'île de la Caravelle. Il demeure le lieu privilégié et authentique sur la côte Nord-Atlantique.

                Son charme délicat et préservé réside dans son aspect rural et naturel, dans la chaleur accueillante de ses habitants, dans les couleurs chatoyantes de ses gommiers et de ses nombreux restaurants de pêcheurs au bord de l'eau.


             Ce paisible hameau de pêcheurs situé entre la pointe du Diable et La Trinité s'étale le long de la mer et possède de superbes plages, qui sont de véritables paradis pour la plongée sous-marine. Dans ces eaux coralliennes vivent d'innombrables variétés de poissons tropicaux.

            La tartane, du nom de cette embarcation traditionnelle portant un grand mât et un beaupré, a donné son nom au village dont la pêche demeure la principale activité.

     

     
     
     

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                        Je vais vous faire découvrir cet après-midi,l'une des communes les plus touristiques de la Martinique,à savoir les Trois-îlets.Faisant face à Fort-de-France et à sa baie, les Trois-Ilets sont composés de trois espaces distincts : le vieux bourg et ses maisons traditionnelles, et à quelques kilomètres, la Pointe-du-Bout, sa marina, ses hôtels de luxe et ses nombreux équipements de loisirs. Encore un peu plus à l'ouest se trouve le quartier de l'Anse à l'Ane.


     

                         Les habitants de la commune se nomment les îléens,pour une population de 4500 habitants,les villes proches sont les Anses d'arlet à 9 Kms et Rivière-Salée à 6 kms.

     

     

                       Portrait de la commune

     


    Située du côté caraïbe de la Martinique, la commune des Trois-Îlets étendue tout le long de la côte sud de la baie de Fort de France, offre plusieurs visages. D'un côté, le bourg et ses vieilles maisons créoles un peu branlantes mais pleines de charme regroupées autour de l'église et de la place de la mairie. De l'autre, une station touristique moderne (la plus importante de l'île) située à quelques kilomètres de là, sur la presqu'île de la Pointe du Bout, ainsi qu'à l'Anse à l'Ane.

     

     

                       Les loisirs dans la commune


     

    Principalement orientée vers le tourisme balnéaire, la commune est un vrai petit paradis des sports nautiques, avec sa marina et ses nombreux clubs (kayak, windsurf, kitesurf, jetski, hobbie Cat ...) installés sur les plages de la Pointe du Bout. Mais les Trois-Ilets abritent aussi un important patrimoine historique à découvrir. Le bourg bien sûr. L'ancienne habitation de la Pagerie, ou encore la Maison de la Canne.

     

     

                       Les plages de la commune  

     

    La commune des Trois-Ilets compte de nombreuses plages tout le long de la Pointe du Bout et un peu plus loin, à l'Anse à l'Ane. Les magnifique plages de l'Anse Dufour et de l'Anse Noire sont à quelques kilomètres en direction des Anses d'Arlet.

     

     

     

                        L'hébergement dans la commune  


     

    Les quartiers de la Pointe du Bout et de l'Anse à l'Ane concentrent un nombre très important d'hôtels allant du 2 au 4 étoiles. Cette gamme étendue permet de trouver facilement une chambre correspondant à son budget. Du côté des locations vacances, de nombreux particuliers proposent des bungalows, villas ou appartements à louer à la semaine.

     


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                                      Je vous propose aujourd'hui de découvrir la commune de Grand' Rivière.Isolée,tout au Nord de la Martinique,à flanc de falaise,face à un océan Atlantique souvent agîté,la commune a un petit bourg animé par son importante communauté de pêcheurs.De nombreuses possiblités de randonnées à proximité également.  

     

       Sa situation géographique :


     
     
     
     

    LE RELIEF : 

                    Située dans une vallée,le relief est très accidenté.La route qui y mène est très escarpée.La côte présente des Caps (cap Saint Martin),des anses (anse Dufour,anse du Débarcadère,anse de la Bagasse).La région avoisinante est très montagneuse (morne Balata,morne Tique,morne Citron).La végétation y est très dense et luxuriante. 

      
          L'un des 2 ponts métalliques
             qui annonce l'entrée de
                    Grand' Rivière.
     
     
     
        Les habitants sont les riverains,la commune compte 1000 habitants,les villes proches sont Basse-Pointe ( 11 kms) et Macouba ( 7 Kms ).
     
     
    LES LIMITES : 

    A l'Est : La Rivière Potiche au dessus de laquelle on trouve le fameux pont métallique, d'une longueur de 67 mètres et d'une hauteur de 57 mètres. C'est le pont le plus long et également le plus haut de la Martinique. 

    A l'Ouest : l'anse Dufour

    Au Nord : le canal de la Dominique, large de 35 Km

    C'est la "commune du bout du monde", la route y est stoppé par la mer au port pittoresque de pêche.

     

     
         La grand' Rivière dotée
      d'une eau de grande qualité
     
     
     
       
     
                  Le petit village de Grand' Rivière
                    faisant face à l'océan Atlantique
     
     
     
    Cette commune doit son nom à la grande riviere qui descent de la Montagne pelée et qui la baigne.Les indiens CARAïBES s'y étaient installés dans ce paradis sauvage,au pied des falaises battues par les rouleaux de l'Atlantique.Par temps clair,on peut apercevoir l'île voisine de la Dominique.
     

    Une seule route mène à Grand-Rivière et lorsqu'on y arrive, on est au bout de l'île. Grand-Rivière est un village de pêcheurs qui se trouve à 72 kilomètres de Fort-de-France.

    Cette paisible commune bâtie au XVIIe siècle, peu après la colonisation, les jésuites y ont construit une chapelle. Elle dépendait en 1837 des communes de Macouba et de Basse Pointe, elle est devenue indépendante par la suite.

    Même si le trajet semble un peu long pour accéder à Grand-Rivière, on traverse néanmoins des paysages de toute beauté. La nature y est très luxuriante, on admire les arbres gigantesques de la forêt humide, dotée d'une multitude d'espèces végétales. Grand-Rivière est un havre de paix. Loin du stress de la ville, on est complètement dépaysé.
    Quoique très petit, le village offre quelques curiosités :

    ·• La rivière d'eau cristalline qui descend de la Montagne Pelée et qui fait la joie des baigneurs. Ses aires de pique-nique permettent de se détendre en famille

    ·• Le port de pêche où on assiste à des scènes hautes en couleurs

    ·• Le marché aux poissons

    ·• Une très belle vue sur le sud de l'île de la Dominique

    ·• La statue de la Vierge des pêcheurs qui domine le bourg

    ·• L'église dont une partie date du XVIIe s

    ·• L'habitation Beauséjour qui est une ancienne distillerie

    · • Les vestiges de l'habitation Fond Moulin et de l'habitation Malakoff qui produisaient du cacao et du café…

    Des randonnées pédestres et des excursions nautiques sont organisées toute l'année par le syndicat d'initiative. Il existe de très belles pistes pour les randonneurs de tous niveaux comme celle reliant Grand-Rivière au Prêcheur ou encore à la Montagne Pelée.

     

     
                                     
     
     
     
                                                                                        
     
     
    Sources :     grand-riviere.com
                      photos.linternaute.com (photos : J.P Marro)

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                                            Je vous propose de découvrir à travers plusieurs billets,les communes de la Martinique.Sans transition avec mon billet précédent,consacré aux Gorges de la falaise,je vous propose de découvrir la commune qui abrite,en autres,ce site.

                    Il s'agit de la commune d'Ajoupa-Bouillon :
     
     
                                      Sa situation géographique :
     
                                   
     
     
                        La commune d'Ajoupa-Bouillon est accessible par plusieurs axes routiers : par le Nord-Caraïbe,le Nord-Atlantique et si vous êtes un amoureux de la nature,vous avez soif de verdure,l'itinéraire que je vous conseille est la route de la Trace (RN3) au centre de l'île.
     
                 Cette commune du Nord de la Martinique compte 1771 habitants (les Ajoupa-Bouillonais ou bouillonais). Elle se situe à 39 Km de Fort de France.

                 La Fête Patronale de Notre Dame du Bon Secours, le 8 décembre.

                Du Morne-Rouge,on peut gagner Ajoupa-Bouillon par la RN 3, long ruban d'asphalte bordé de bambous gigantesques, de fougères arborescentes datant d'une autre ère, d'arbres chargés de broméliacés, d'orchidées sauvages et autres épiphytes.

                Perchée à 260 mètres d'altitude, Ajoupa-Bouillon est une commune essentiellement agricole et forestière.
    Située sur les contre-forts de la Montagne Pelée, elle est aussi les départs de nombreuses randonnées par les chemins de Trianon et de Morne Calebasse.

     

                      Son histoire :

                               En langue caraïbe le terme d'Ajoupa désigne un abri, une cabane hâtivement dressée. Quelques temps après la colonisation le duc de Bouillon, propriétaire des lieux, dresse sur cette pente atlantique de la montagne Pelée, un abri qui, les années aidant, devint L'Ajoupa-Bouillon.

                            L'Ajoupa-Bouillon, commune détachée de Basse-Pointe en 1889, tiendrait son nom de Jean Gobert sieur de Bouillon, originaire du Languedoc, installé dans la région du Marigot où il mourut en 1680.
    C'est lui, qui selon la tradition, aurait fait construire au bord du chemin reliant le Morne-Rouge au Lorrain, un ajoupa (abri de fortune des Caraïbes) et refuge très apprécié des voyageurs.

                     

                    Une nature tout à fait remarquable :

                       Cette petite commune fleurie abrite un site tout à fait merveilleux, "Les Gorges de le Rivière Falaise" ainsi qu'un sentier botanique d'une grande beauté et valeur pédagogique, "Les Ombrages".
    Ajoupa-Bouillon a obtenu le Label National "Villes et Communes Fleuries", 1 fleur.

               Morne-Rouge, Ajoupa-Bouillon,Basse-Pointe, Macouba et Grand-Rivière sont fédérées par la Montagne Pelée en un bloc cohérent et regroupées dans le cadre du Pays d'Accueil Touristique du Plein Nord (PAT) qui chaque année réalise sur leur territoire une grande manifestation de valorisation et de promotion, "Convergence".

                     Quelques sites :

      

      LES JARDINS DE L'AJOUPA


    Ouvert du lundi au vendredi de 8h à 15h. entrée gratuite.Visite des serres.
    Vivez la Martinique avec ses fleurs tropicales.
    Les Jardins de l'Ajoupa, une des premières entreprises horticoles de la Martinique.
    Par leur originalité et leurs formes, leurs coloris, le charme et l'élégance de leur tenue, des fleurs et feuillages.
    Très belle collection d'hibicus.

     

                                        

     LE SENTIER BOTANIQUE ET FLORAL "LES  OMBRAGES"


    Un espace d'une grande beauté, riche de nombreuses espèces naturelles ou cultivées. Son accessibilité en toute saison en fait un lieu idéal d'initiation à la nature et de découverte de la végétation tropicale.

                                                                                                               

          Source :  zananas-martinique.com

                        Photoway.com  


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                                         Je vous propose de parler d'un site touristique incontournable de la Martinique,situé dans le nord de l'île.Il s'agit des Gorges de la falaise :   

                                                                    

               Agréable balade avec bain dans la cascade. On y accède par le village d'Ajoupa-Bouillon, 1,5 km après la sortie, route de droite.Sans difficultés on marche à travers des gorges qui courent sur plus de 100 m de long, encadrées de falaises couvertes par la forêt tropicale ou royaume des épiphytes (ou plantes lianes) comme l'ananas bois dont les jolies fleurs rouges et jaunes ne donnent pas de fruit.

    Ouvert de 8h à 17h30. Visite guidée.Il s’agit d’une promenade au pied d’une rivière entre deux immenses falaises au milieu de la forêt tropicale ; les gorges sont très spectaculaires par leur encaissement et leur emplacement parmi la verdure tropicale. Peu à peu, on remonte vers les cascades, où les baignades dans une eau fraîche et limpide s’imposent. Les grondements des chutes d’eau environnantes forment un fond sonore impressionnant. Des caissons étanches pour protéger souvenirs, appareils photo, sont aussi disponibles. Les tenues de bain et des serviettes sont recommandées. On y accède sur la route de la montagne Pelée, à gauche en venant de Morne-Rouge (bon fléchage). Durant la période des pluies (de juillet à octobre) il est préférable de téléphoner avant car le site est parfois fermé pour des raisons de sécurité.

     

                                                                                                                                            
                 LES CARACTERISTIQUES DE CETTE RANDONNEE :           

      Durée : 3 h    Longueur : 1 km (balisage jaune et blanc)          Période :toute saison                Faisabilité : très facile

      Equipement : chaussures de randonnée, sandales plastique ou basket,et maillot de bain pour la baignade.

      Danger : chutes de pierres et fortes pluies.

     

     

                         Gardiens silencieux et imposant d'un site où, au gré du soleil, la nature explose en couleurs sombres et violentes, ces énormes blocs rocheux se renferment progressivement sur le promeneur. Alors on oublie que cette balade a commencé tout à l'heure sur un sentier "dégagé" en plein air...Ici, maintenant, le ciel s'effiloche au dessus des têtes pour n'être plus qu'une mince frange bleue accrochée au faîte d'immense murailles noires et moussues. Le choc visuel est proche. Devant vous, la cascade étincelle en myriades d'étoiles argentées. l'eau est fraîche, limpide. L'invitation à la baignade est à présent trop tentante.

                           Les Gorges de la Falaise se font alors dociles et accueillantes...C'est maintenant qu'il faut savourer l'instant rare où l'homme et la nature vivent en parfaite harmonie. Les cris de joie se mêlent au grondement continu des chutes d'eau qui résonnent alentour.
                           Cette Martinique là ne s'effacera pas de sitôt de vos souvenirs. Les Gorges de la Falaise ne cessent jamais d'enchanter et de surprendre ses hôtes, dans toutes leur exubérance tropicale.

     

                  LES TARIFS :

     
     Adulte
    6,86 euros
    45,00 F
     Enfant de 5 à 11 ans
    3,81 euros
    25,00 F
     Prix de groupe ( à partir de 10 personnes)
    5,34 euros
    35,00 F

     

               LES PRESTATIONS DISPONIBLES SUR PLACE :    

        *   Parking
        *   Aire de pique-nique
        *   Guide
        *   Caisson étanches
        *   Assurances
        *   Chaussures anti-dérapantes
        *   Snack-bar
        *   Boutique de souvenirs

     

                 LES COORDONNEES :

                                                     

                 

              Très fleuri, Ajoupa-Bouillon abrite les Gorges de la Falaise : des mini-gorges de la rivière Falaise que l'on peut remonter pour aboutir à une cascade. A Ajoupa-Bouillon, on visite aussi le sentier botanique aménagé dans la forêt Les ombrages et la serre aux Papillons.

                                                                                                                                                             

              Sources :  genaisse.com

                               aux-antilles.fr

                               membres.lycos.fr/gorgedelafalaise/contact.htm

                               Photoway.com

    Pour toute information ou réservation,contactez la Société d'exploitation des Gorges de la Falaise :

    Chemin Semaine
    97216 Ajoupa-Bouillon - Martinique


     

     


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                                       Je vous propose de vous faire découvrir le Pérou,en hommage à mes amis Philippe et Fabi,deux grands amoureux de ce fabuleux pays,berceau d'anciennes civilisations.

    Le Pérou,état d'Amérique du Sud,baigné par l'océan Pacifique,1 285 000 km2,peuplé de 26 093 000 habitants,les péruviens.Capitale : Lima ,langue : espagnol et dans certaines régions,aymara et quechua,la monnaie : sol.

    Le Pérou fut le centre de nombreuses civilisations amérindiennes (Chavin,Moche,Chimù,Nazca,Paracas).Du XII ème au XVI ème siècle,les Incas étendent leur domination sur les plateaux andins,épanouissant une très grande civilisation,anéantie par la conquête espagnole et l'époque coloniale.

                                                                                                             

                                                                                                         

    Le site du Machu Picchu                                                                                                         

    "la Cité perdue des Incas"                                                                                                       

                                                                                                   

                                                                Portraits de Péruviens
     
                                                                                                                      
     
     
                                                               
     
         Le lac TITICACA (8000 km2 et plus d'une quarantaine d'îles)
     
     
                                                                            
                                                                    
     LIMA,la capitale                                                                           
     
     
     
     
                                                                                  
     
          CUSCO,LA VALLEE SACREE
             dans la pure tradition inca
     
     
    Si vous désirez avoir plus amples informations sur ce beau pays et les circuits touristiques,allez consulter les sites de mes amis Philippe et Fabi,qui résident là-bas.Ils vous transmettront,sans conteste,leur amour pour le Pérou !!! 
     
     

                                                          

                                                       Cliquez sur la photo pour accéder

                                                                à leur site sur le Pérou 

     

     

                                         

                              Cliquez sur l'image

                          pour accéder à leur skyblog

                                                                                           

     

    Sources photographiques:      photoslagarde.com

                                               tourdumonde.be

                                               peruteamo.skyblog.com


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    Je vous présente "la mangrove martiniquaise".

    Mais tout d'abord,qu'est-ce qu'une mangrove ? 

     

    La mangrove est une forêt littorale, interface entre la mer et le domaine terrestre. Les espèces qui s'y développent doivent tolérer un milieu salé et pauve en dioxygène.

                L'activité chlorophyllienne permet une fixation importante de carbone      inorganique.La mangrove abrite de nombreuses espèces. Elle joue un rôle de filtration en retenant les sédiments qui seraient préjudiciables au développement des herbiers et surtout des formations coralliennes situées plus au large.

    Les activités humaines menacent aujourd'hui cet espace boisé.

    La mangrove abrite une faune et une flore très variées. L'entrelacs des racines-échasses constitue un support pour de nombreuses espèces fixées.

    Les espèces végétales et leur répartition

     La mangrove est une forêt littorale exclusivement intertropicale (sous des températues supérieures à 18°C).Ce type de forêt en partie inondée se développe sur un sol vaseux.Cette forêt est caratérisée par une un nombre peu important d'espèces ( 5 environ) . Il s'agit d'espèces ayant développé des caractères anatomiques et physiologiques liés à ces contraintes.

    Les espèces végétales qui constituent ce milieu présentent une zonation fonction de leur tolérance vis à vis du milieu salé et de la pauvreté en dioxygène. A partir de la mer, on distingue : 

        *   Le palétuvier rouge (rhizophora mangle) pousse dans la zone inondée,en milieu marin,ou à l'embouchure des rivières.Cette espèce possède des racines-échasses,en partie aériennes.La germination particulière des fruits permet une colonisation vers le domaine maritime.

       *   Le palétuvier ou mangle noir (avicennia germinans) occupe des milieux partiellement inondés.Il possède des pneumatophores.

         *    Le palétuvier ou mangle blanc (laguncularia racemosa) se trouve dans la zone la plus en arrière.Il pousse dans la vase,sur un sol partiellement inondé.Si les racines sont souterraines,il se caractérise par la présence d'un important développement de pneumatophores.

         Ce peuplement se retrouve principalement dans les mangroves sur sédiments riches en argile et tourbe.C'est la cas de la baie de Génipa.

     

    L'évolution de la végétation de mangrove

                                     Localisée essentiellement dans les zones littorales, la mangrove subit très fortement la pression humaine. Considérée comme malsaine, elle fut dégradée au profit de l'urbanisme, les installations touristiques (installation portuaire) sous le couvert d'assainissemement. Ce milieu côtier original est aujoud'hui menacé. Son rôle mieux compris, de nombreux organismes aujoud'hui tentent de le protéger. 

                   Une vie sous-marine extrêmement active se déroule sur et entre les racines-échasses des Rhizophora mangle. Ces racines sont immergées en quasi permanence. La marée basse permet d'observer une partie de la vie fixée. Le milieu est le plus souvent chargé de sédiments en suspension qui ne facilitent pas toujours l'observation.

                    Néanmoins, certaines formations, installées sur des sédiments plus grossiers par endroits, permettent une bonne observation de la vie sous-marine.

    Sur le bord externe de forêt, le réseau moins dense des racines permet le passage d'un peu plus de lumière. On y rencontre fixées, des algues vertes ou brunes comme sur la photo ci-contre.Les éponges  abondent.

    La vie dans la mangrove

               Dans cet écosystème,sont surtout représentés les crustacés et les insectes.Entre la surface de l'eau et les branches de mangles rouges,circulent de petits crabes des palétuviers.

    Plus en arrière dans la zone qui n'est inondée qu'épisodiquement,la vase est creusée de trous.Une variété de crabes y réside,ce sont les mantous ( gros crabes velus ).                       .

                  Dans la partie la plus sèche de la mangrove,ou les zones les plus dénudées,le sol est percé de petits trous,peuplés par des crabes appelés "cé ma faute" ou crabes violonistes.Chez le mâle,les pinces sont dissymétriques,alors que chez la femelle,les pinces ont sensiblement la même taille.Ce crabe vit le plus souvent hors de l'eau

     

     

                                   

       

                  

        Les plus communs sont les hérons garde-bœufs, Bulbucus ibis. Le soir, ils sont nombreux à s'installer sur les Rhizophora mangle pour y passer la nuit.

     

           

     

                            

    C'est au niveau des palétuviers ou mangle noir, que vit le Kaïali (Butorides virescens). C'est le petit héron le plus typique de la mangrove. Son cri est caractéristique et donne l'alerte dès qu'on s'y approche. Cet oiseau de l'ordre des Ciconiiformes, construit son nid de branchettes dans les mangles. Il capture petits poissons, batraciens, crabes, insectes.

    La mangrove regroupe plus de 80 espèces d'oiseaux.

     

                             La mangrove en plus de son intérêt biologique,joue un rôle de protection des côtes contre l'érosion. Les racines échasses, le réseau dense de racines et pneumatophores retiennent les sédiments et les stabilisent. Cette filtration des sédiments limite leur transport et leurs dépôts sur les herbiers et plus au large sur les récifs coralliens. Ces derniers ont besoin d'une eau claire, pauvre en matière en suspension, pour se développer.Ainsi, en stabilisant les sédiments, la mangrove limite les apports de particules et leur sédimentation sur les zones coralliennes. 

     


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             En hommage à mon amie SANDRINE  http://madininalover.spaces.live.com   qui habite cette magnifique commune de la MARTINIQUE,je vous présente aujourd'hui Le MARIN :

     

     

     

                              Au fond de sa superbe baie, la commune du Marin accueille la plus grande marina de la Caraïbe, et se trouve à proximité de certaines des plus belles plages de l'île.

     

    L'église du MARIN
     

                          Les habitants se nomment les marinois,6500 habitants,code postal 97290,villes proches,Rivière-Pilote (7.5kms),Sainte-Anne (7kms),le Vauclin (10kms).Sa fête patronale est le 26 décembre,la commune compte parmi les pôles de tourisme de l'île,elle se présente sur les deux phases littorales Est et Ouest.

     

    La marina du MARIN
     

                      L'une des premières communes habitées de la Martinique, avec déjà plus de deux cents habitants en 1664.Bombardé à de nombreuses reprises lors des conflits franco-anglais, le bourg fut ravagé par les cyclones de 1891 et de 1903. Heureusement, la commune jouit d'un site naturel magnifique, la profonde baie du Marin, et d'une animation communicative du côté des pontons de la marina.   

                

     

       Quelques sites importants : le point culminant,le Morne Pérou (218 mètres).Littoral oriental : le Cap Macré et sa barrière de corail.Sur le littoral occidental,le cul-de-sac du Marin et sa petite mangrove,la forêt aménagée de la Fouquette,le site du domaine du Grand Macabou,

     

     

    Le Cap Macré
     
                           L'une des premières communes habitées de la Martinique, avec déjà plus de deux cents habitants en 1664.Bombardé à de nombreuses reprises lors des conflits franco-anglais, le bourg fut ravagé par les cyclones de 1891 et de 1903. Heureusement, la commune jouit d'un site naturel magnifique, la profonde baie du Marin, et d'une animation communicative du côté des pontons de la marina.

    A voir, à faire ...


    De la voile sur une coque, de la voile sur deux coques, de la voile sur trois coques ... Tout ce qui flotte et semble pouvoir prendre la mer est au Marin... Traîner sur les pontons et admirer les bateaux, puis glisser gentiment vers les bars qui longent la marina.


    Quelle plage sur le territoire de la commune!Celle du Cap Macré du côté atlantique de la Martinique entre le Cul-de-Sac Ferré et le Grand Macabou. Un régal ! Et pour varier les plaisirs, les magnifiques anses de Sainte-Luce ou de la presqu'île de Sainte-Anne ne sont qu'à quelques kilomètres.

     

     

    Astuce pour trouver cette belle plage  :
    A la sortie Est du bourg du Marin prendre la D9 vers Sainte-Anne, puis tourner à gauche sur la petite route qui rejoint le Cap Macré.Autrement pour les connaisseurs,lorsque vous empruntez la D9,vous passez la Brigade de Gendarmerie du Marin sur votre droite et la route de la plage est accessible au proche carrefour à gauche.
     

    Le Cap Macré


                          
                              Une route un peu défoncée traversant la campagne de la côte atlantique martiniquaise, puis le domaine forestier du Grand Macabou, vous mène jusqu’à un petit sous-bois en bord de mer dans lequel vous laisserez votre véhicule. Là, à peine cachée sous les frondaisons, une vue magnifique sur une belle langue de sable blanc éclatant, s’offre à vous. Les vagues brisent au loin sur la barrière de corail, et les Alizés soufflent gentiment, rafraîchissant l’atmosphère.

    Avançant en pointe vers la mer, le Cap Macré est bordé sur toute sa longueur de deux très jolies plages (au nord, l’Anse Grosse Roche) qui se rejoignent à l’extrémité du Cap. On passe ainsi très facilement de l’une à l’autre. Toute la pointe est frangée de raisiniers, mais il suffit de faire quelques mètres vers l’intérieur, pour se retrouver à l’ombre du sous-bois dans lequel sont installés plusieurs espaces de pique-nique.

     

    L'anse grosse roche

       Le plan d’eau bien abrité est généralement calme, et ses couleurs sont tout simplement éblouissantes. L’eau prend ici toutes les teintes, entre bleu profond et turquoise.

    Cerise sur le gâteau, vous ne serez sûrement pas très nombreux à fouler ensemble le sol du Cap Macré. Pas très facile d’accès, le paradis se mérite !

     

    J'espère avoir retranscrit fidèlement les informations de mon île chérie!!!Hein SANDRINE!!!Lol!!!

     

    Sources  :                 zananas-martinique.com 

                                     en-martinique.com 

     

                                                                                            

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                               Je vous propose de découvrir ce soir,la belle petite commune de Bellefontaine,chère à mon coeur puisque que ma famille y est bien implantée depuis de nombreuses années et y occupe une place importante dans la vie culturelle,sportive et religieuse.

     

                   Cet article est également un joli clin d'oeil à mon collègue et ami Laurent,qui a séjourné,il y a quelques années dans cette commune et qu'il connaît bien!

     

     

                                                            

     

     

     

     

     

                         *  QUELQUES DONNEES :

     

     

                        * Habitants : les bellifontains (es).

                        *  Point culminant : la montagne Corin (674 mètres).

                        * Les rivières : Fond-Bouchet,la rivière Capot (en limite Nord) et à Fond-Laillet.

                        * Fête patronale : 1er et 2 ème week-end du mois d'Août

     

     

     

                           

     

     

     

     

                         Bellefontaine,petite commune du littoral de la côte Caraïbe entre le Carbet et Case-Pilote,puis à 12 Kms de la capitale.Elle est encore une jeune commune, puisque sa création ne remonte qu'à 1950,lorsque Bellefontaine fut officiellement libérée de la tutelle de Case-Pilote, dont elle partage l'histoire. L'ancien quartier de Bellefontaine tient son nom d'un colon, le sieur de Bellefontaine qui s'employa à la prospérité des lieux.

     

     

     

     

     

                                    

                                                                   -  Le bourg de Bellefontaine  - 

     

     

     

     

     

     

     

                         Commune d'une superficie de 36 Km² et de 1530 habitants, Bellefontaine conserve toujours le charme d'un village de pêcheurs, avec ses gommiers multicolores, mais la pêche ne représente plus aujourd'hui l'activité principale. La première place revient à l'agriculture et au maraîchage qui, sur les hauteurs fraîches et verdoyantes notamment au quartier Verrier, approvisionnent les marchés de Martinique en carottes, tomates et oignons.

    C'est aussi à Bellefontaine, peu avant la commune, qu'est implantée l'une des deux centrales électriques de l'île.

     

     

     

                                La superficie de Bellefontaine fut augmentée de 5 000 m2 en 1991, à la suite d'un éboulement de roches de la falaise,qu'il fallut pousser vers la mer pour dégager le littoral.

     

     

     

     

     

     

     

     

                                * QUELQUES ATTRACTIONS TOURISTIQUES :

     

     

     

     

     

     

                                     

     

     

     

     

                         *   Dans le bourg, il convient de ne pas manquer de regarder attentivement,la célèbre maison-bateau accrochée à flanc de colline le "Torgiléo", spectaculaire maison bateau .Elle abritait un restaurant.Réplique de la proue d'un navire bananier de l'époque, il fut construit en 1948, par un géomètre qui le baptisa du nom composé des syllabes tirées des prénoms de sa petite famille ( Victor - Virginie et Léo).

     

     

     

     

                         D'ailleurs,je connais très bien la maîtresse de maison qui est une institutrice à la retraite et qui jouit d'un caractère bien trempé,mais très accueillante et très fêtarde par ailleurs!

     

     

     

     

     

     

     

                                                       

                                                                              -  La route de Verrier  -

     

     

     

     

                         *   Autre point de vue à ne pas râter,le quartier Verrier qui domine la commune et jouit d'un panorama radieux de la Mer des Caraibes,de la Montagne Pelée et les Pitons du Carbet!Situé à 600 mètres d'altitude,Verrier bénéficie d'un régime climatique clément entre 25° et 30°.

     

     

                          *  De nombreuses randonnées pédestres aussi,à découvrir.La plage aménagée à Cour-Tamarin est disponible,avec du sable gris,comme sur la plupart des palges du Nord-Caraïbes!

     

     

     

                             La pêche activité essentiel, a, ici comme ailleurs en Martinique, beaucoup décliné, mais on peut encore parfois assister au tirage de la senne.

      

     

     

                              *  Le parcours pédestre  Verrier - Morne Chapeau-Nègre - Absalon, dont la distance totale est de 6 kms,durée d'environs 4 heures,altitude :  271 mètres

                    

     

                                *   L'association du Coup de Sene
    Une journée de pêche typique : “décollage”, “coup de senne” (filet de pêche), préparation et dégustation du “blaff” (spécialité de poisson), fabrication de “couis”, de farine de manioc sont autant de traditions encore vivaces. Un diplôme de “sennateur” à la clé!                                   

                                                                 

     

     

     

     


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