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                 Désastre écologique en MARTINIQUE...Plus de 500 hectares ravagés par les flammes en quatre jours sur la Montagne Pelée. Une catastrophe écologique sans précédent.Après 4 jours les incendies semblent terminés sur les flancs du volcan,, où se concentre une réserve biologique unique. Une équipe d'agents de l'Office National des forêts est montée au sommet, afin de commencer à évaluer les dégâts infligés à la flore et à la faune de la réserve.

     

     

     

     

                  L’incendie s’est éteint de lui-même. Les pompiers impuissants face au feu n’ont fait que constater les dégâts. Ils sont sans précédent. Une partie des flancs nord, sud et ouest de la montagne Pelée sont carbonisés. Une reconnaissance sur les lieux a été effectuée vendredi, afin de contenir d’éventuelles reprises de feu.

     

     
     

              Les dégâts :


                 Les flammes sont parties du pied de la montagne pour atteindre le haut du sommet de ce volcan toujours en activité. Tout au long des 1.397 mètres de la Pelée, les flammes ont ravagé tout sur leur passage. De nombreuses espèces ont été détruites. Les dégâts sont encore plus considérables dans la partie haute de la montagne. Dans cette zone, se développent des espèces rares. « C’est dans les zones de sommet que l’on rencontre le plus d’espèces endémiques, c’est-à-dire des espèces qui sont limitées à une ère géographique très très restreinte. Le problème c’est que les espaces où ces espèces peuvent s’installer et vivre à la Martinique sont des espaces extrêmement restreints, donc cela veut dire aussi de très petites populations, donc quand une population est très petite, évidemment tout ce qui l’affecte est grave » explique Jean-Pierre Fiard, spécialiste en écologie et dynamique forestière tropicale au micro de RFO Martinique.

     

     

              Risque d’érosion :


                « Tout va dépendre de la capacité à la végétation à reprendre suite à cet incendie  » déclare Michel Barthélémy, technicien de l’Office National des forêts pour le secteur nord caraïbe. Si certaines espèces pourront repousser après l’incendie, d’autres en revanche auront plus de difficultés. Cette situation sera regardée de près par des scientifiques. Si la végétation ne reprend pas le dessus, la terre ne sera plus maintenue par les végétaux ce qui peut provoquer d’autres catastrophes naturelles, comme des glissements de terrains en cas de fortes pluies.

     

     

     

                Peu de réactions :


                    Le développement durable, le respect de la nature, font en général partie des discours des élus et des services de l’Etat. Presque tous mettent en avant cette nécessité de développer une zone donnée dans le respect de l’environnement. Un respect de la nature également enseigné aux enfants, mais qui reste au stade de concept face à un tel désastre.

     

     

     

     

                   A ce jour, seuls deux élus ont réagi à cet incendie. Ils sont tous deux écologistes. Il s’agit de maire du prêcheur, Marcelin Nadeau et le maire de Saint Anne Garcin Malsa. Le premier réclame des moyens pour lutter contre ce type d’incendie. Aucun avion bombardier d’eau n’existe en Martinique ni même en Guadeloupe. Le maire du Prêcheur estime par ailleurs que sa commune est menacée par le risque d’érosion. Si ce risque est minime dans l’immédiat à cause de la sécheresse qui sévit en ce moment, le problème pourrait se poser dès le mois de juin avec le début de la saison cyclonique.
    Pour le maire de Saint Anne, Garcin Malsa, une part importante de la biodiversité a été détruite. Il se dit par ailleurs étonné du peu d’importance accordé par les autorités à cette catastrophe. L’élu réclame des moyens pour évaluer les pertes afin que des mesures soient prises pour la reconstitution biologique du site.

     

     

    Crédits photographiques : FTV et  www.franceantilles.fr


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    Hier après-midi, jeudi 11 février, le volcan de la Soufrière est entré en éruption sur l’île de Montserrat qui se trouve à 80 km de Pointe-à-Pitre. En fait, ce volcan porte le même nom que celui qui se trouve en Guadeloupe. A MONTSERRAT, le dôme a partiellement explosé, envoyant des cendres à très haute altitude qui retombent sur la Guadeloupe. Selon le préfet de Guadeloupe, le nuage de cendres « stagne sur la Guadeloupe » et la visibilité étant réduite, il est conseillé aux conducteurs d’être prudents. Les vents très faibles n’arrivent pas pour l’instant à chasser le nuage de cendres qui obscurcit le ciel de la Guadeloupe tout au moins au nord-est et à l’ouest de l’île. Dans l’île de Montserrat, la ville de Plymouth a été ensevelie sous les cendres tandis que les quelque 12 000 habitants se sont réfugiés au nord de l’île. Pour l’instant, la population en Guadeloupe n’est pas en danger mais l’aéroport de Pointe-à-Pitre a été fermé à titre préventif. Les vols prévus à partir de Paris ont été réorientés vers la Martinique. Quant aux écoles de Pointe-à-Pitre, elles sont restées fermées jusqu’à nouvel ordre.

     

    Une éruption de plus...Déjà,le 18 juillet 1995,la capitale Plymouth avait subit des dommages irréversibles et les deux tiers de la population de l'île avaient été contraints de quitter leurs habitations.Les dégâts s'étaient limités au sud de l'île,la capitale, ses installations portuaires et son ancien aéroport W.H. Bramble. Depuis la destruction totale de Plymouth le 25 juin 1997 et la mort de 20 personnes, les bâtiments gouvernementaux se situent à Brades,au nord de l'île. Dans cette région, un nouvel aéroport a ouvert en 2005 à Geralds et une nouvelle capitale est actuellement en construction près de Little Bay.

       

    Situation géographique de MONTSERRAT dans les Petites Antilles et par rapport à la GUADELOUPE :

     

                        


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    La Guyane, la Martinique et la Guadeloupe parlent d’une seule voix en solidarité avec Haïti. De nombreux Haïtiens se sont installés au fil des ans dans ces Départements Français d’Amérique.Elus et associations guadeloupéennes se mobilisent.Un comité stratégique de coordination créé avec la Région Guadeloupe, le département, l'Etat, les associations de maires, et les associations caritatives a été mis en place.

     

     



      *  Les Cellules psychologiques


    L’aide humanitaire s’est très vite mise en place dans les départements d’Outre-mer. Outre les appels aux dons, des cellules d’aide psychologique se sont mises en place, pour accompagner ceux qui en ont besoin. Il faut dire que les communications manquent avec Haïti et cette coupure est insupportable pour les proches et les familles. L’attente est lourde, les téléphones ne répondent pas, sonnent dans le vide. Certains craquent, ils savent que le pire est au rendez-vous.


     *  L’élite des spécialistes


    Des pompiers, des spécialistes d’intervention d’urgence, des maîtres-chiens, des médecins, des techniciens, sont partis pour Haïti de la Guadeloupe, de la Martinique pour venir en aide aux Haïtiens. Hier après-midi, mercredi, 3 avions militaires ont décollé de Fort-de-France, pour Port-au-Prince, ils avaient à leur bord une cinquantaine de personne et 10 tonnes de matériel militaire d’aide d’urgence. Les pompiers de Guyane doivent aussi participer aux opérations d’urgence, avec des personnels médicaux.


     *  Les Haïtiens libres


    A l’instar du CORECA (Contacts Recherche Caraïbes), plusieurs associations ont demandé un moratoire pour l’expulsion des Haïtiens sans visa. Les autorités préfectorales ont fait savoir qu’aucun raccompagnement en Haïti ne sera effectué, tant que durera la situation de chaos. En Guadeloupe, les Haïtiens qui étaient au centre de rétention, c’est-à-dire en instance de départ, ont tout simplement été remis en liberté. Les Etats-Unis ont également pris les mêmes mesures exceptionnelles de suspension des expulsions.


     * Des aides immédiates


    100 millions de dollars supplémentaires sont débloqués en urgence par la Banque Mondiale pour aider à la reconstruction du pays. L’aide internationale se met en place parmi les voisins les plus proches  : le Guyana, Trinidad participeront à hauteur de 2 millions d’euros. D’autres pays, dont la France bien évidement, participeront à la reconstruction. A l’échelle de la Guadeloupe, l’aide est substantielle  : 600 000 euros ont été immédiatement débloqués.300 000 euros du Conseil Régional et autant du Conseil Général.


     *  Comité stratégique de coordination

     

    En Guadeloupe, à l’initiative des Présidents des collectivités locales, un comité stratégique de coordination est né. Il a pour but de coordonner toutes les actions en faveur d’Haïti, pour une cohérence  maximale. Ce comité regroupe des représentants de l’Etat, de l’association des Maires, d’associations caritatives, des clubs services, des chambres professionnelles et le Consulat d’Haïti.  C’est ce comité qui installera dès aujourd’hui à la sortie des hypermarchés, des containers où la population pourra déposer ce qu’elle voudra pour venir en aide aux sinistrés (vêtements, alimentation, courses «  sèches  »). C’est lui aussi qui aura en charge l’organisation de l’acheminement des denrées en Haïti. Pour cet acheminement, un comité technique opérationnel, coordonnera le tout sur le terrain.

                     

     *  Les trois phases de l’aide humanitaire vers Haïti


    Cellule psychologique sur place en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane.
    Au retour de l’armée  et des premières équipes de secours, un recensement des besoins sera effectué.
    Avec le consulat de Guadeloupe,une coordination de l’ensemble des actions d’aide et acheminement des denrées récoltées.

       

     *  Un bilan difficile à évaluer


    Le 1er Ministre, Jean-Max Bellerive a, pour sa part, parlé de plus de 100 000 morts. Mais  tout le monde redoute une nouvelle évaluation, qui risque sérieusement d’être revue à la hausse.
    René Préval et son épouse sont miraculeusement en vie. Le palais national n’a cependant pas été épargné. Il semble qu’aucun bâtiment à étage n’ait survécu aux secousses. L’archevêque de Port-au-Prince, Joseph Serge Miot n’a pas eu cette chance. Son corps a été retrouvé dans les décombres. Ce n’est pas le cas de son Vicaire, porté «  disparu  », pour le moment.
    L’ONU a également été durement touché. Le bâtiment qui abritait la Minustah, sa force active dans le pays, recense une centaine de personnes disparues dans les décombres, dont le responsable de la délégation.

     

    Je pense à tous ces images horrifiantes que j'ai pu voir dans les journaux télévisés et qui sont déchirantes,ces victimes impuissantes devant les cadavres de proches ou d'amis,criant au désespoir...Je pense aussi à mes amis haïtiens,mon camarade FEDNOR,que je connaîs depuis le collège,qui est très gentil et qui a encore toute sa famille au pays...

    Tous cela me déchire le coeur...Une énorme pensée pour vous tous Haïtiens,vos familles et amis...Vous êtes doués d'un grand courage avec toutes les épreuves que votre pays a déjà traversé et traversera encore..Un grand hommage à vous,voisins caraïbéens...


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    La préservation de notre belle planète et le réchauffement climatique étant notre préoccupation majeure,le MDLH a décidé de porter sa contribution à cette très noble cause,en montant une expédition polaire en Arctique,en cette année 2010.
     
    Pour tout vous avouer,j'avais quelques réticences à participer à cette expédition,uniquement à cause des conditions climatiques assez rudes,mais après avoir participer au briefing avec l'équipe scientifique,j'ai été réjoui.Les scientifiques présents dans l'équipe m'ont convaicu du bien fondé de cette mission et je n'ai pas pu résister!
     
     
    L'expédition polaire du MDLH 2010 était composée de 6 membres dont 3 femmes : un photographe,un géophysicien,un biologiste,un ingénieur,un médecin,une mécanicienne diéséliste.
     
    - Voici l'équipe des 3 femmes composant l'expédition -
     
     
    Vous comprenez alors,ma motivation et ma profonde conviction du bien fondé de la mission scientifique!
     
     
     
     
    RECIT DE NOTRE EXPEDITION POLAIRE EN ARCTIQUE :
     
     

    Au cœur de l'hiver, sans le réaliser, nous regardions le soleil, droit dans les yeux, le pâle disque fugace roulant sur la banquise, plein nord. Et puis un jour, on se surprend à devoir détourner les yeux : mais oui, il éblouit ! 

     

     

    - Ici COULI en train de poser la clé de voûte de l'igloo,pas loin du campement -
     
     
     

    A chacune de ses apparitions on espère le moment où la sensation de chaleur sera de nouveau perçue. Une impression au début, sur un coin de vêtement noir, bien à l'abri du vent, on s'interroge, sans certitude jusqu'à cet échange convaincu au moment du café entre hivernants : ah oui, c'est certain, les rayons solaires chauffent à nouveau de façon perceptible ! Les joues sont formelles !

     

     

     
     

    Et puis, surprise, en mi-journée,suit le premier déjeuner à la lumière naturelle, le premier réveil en même temps qu'arrive le jour, et ça et là on surprend des rayons solaires s'insinuant à l'intérieur igloos. 

    La rapidité avec laquelle ces petits changements apparaissent nous étonne, les longues journées d'obscurité nous semblent dater d'hier seulement. C'est souvent le retour d'une de ces sensations qui nous fait prendre conscience de sa perte préalable. Et gageons qu'il y en a encore quelques autres à retrouver dans les mois à venir, pour notre plus grand bonheur. 

    Évidemment le retour de plus longues journées permet de profiter plus facilement de l'environnement malgré le temps encore hivernal, après la journée de travail ou entre deux impératifs des programmes scientifiques. La banquise, qui s'est montrée plutôt capricieuse cet hiver avec la débâcle de début juillet (jusqu'à l'île côté nord, respectant heureusement la zone de la manchotière côté continent) s'est bien reformée et permet à nouveau d'approcher tel iceberg ou tel îlot rocheux repérés auparavant. Les activités, les travaux extérieurs et les déplacements sont de plus en plus aisés, tout cela suggérant que les semaines à venir seront des plus agréables sans doute. Et prépare aussi le prochain évènement marquant de l'hivernage qui commence à occuper les esprits : l'arrivée de la première rotation de l'Astrolabe…

     


    Voici quelques belles anecdotes photographiques au gré de nos missions sur la banquise :

     
     
     
     
     
     
     
    - Voici comment on occupe nos soirées de détente,après de longues journées d'expérimentations, dans l'igloo aménagé en jacuzzi géant -
     
     
     
     
    -Ici,le chef de la communauté inuit Kalaallit qui nous a chaleureusement accueilli -
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    - L'ami Couli posant aux côtés de la femme du chef de la communauté inuit Kalaallit -
     
     
     
     
     
    - Ici,je suis pris en photo par le chef Inuit,j'ai été surnommé par la communauté inuit Kalaallit "Petit glaçon" -
     
     
     
     
     
     
    Une petite anecdote sur cette photo,où je suis en train de reconstruire mon igloo qui avait complètement fondu.En fait,un soir,je me suis retrouvé tout seul avec les trois femmes ci-dessus,qui composent l'équipe.On a tous les quatre passés la nuit dans l'igloo,mais je ne comprends pas ce qui s'est passé,la température est montée très très vite à l'intérieur et la toute la structure a fondu,du coup,j'ai été obligé de tout reconstruire...Mais vous comprendrez bien que mon devoir de réserve scientifique m'interdit de vous révéler,ce qui s'est passé à l'intérieur de l'igloo ce soir là!Hum...

     
     
     
     - Petite sculpture réalisée par la communauté inuit et qui m'a été offert à mon départ du site d'expédition polaire -
     
     
     
     
     
     
    Trève de plaisanterie...
     
    Retour à la réalité!
     

    Le climat global de la Terre connaît des modifications plus ou moins cycliques de réchauffements alternant avec des refroidissements qui diffèrent par leur durée (de quelques milliers à plusieurs millions d'années) et par leur amplitude. Depuis 800 000 ans, le climat terrestre a connu plusieurs de ces cycles. Plusieurs cycles de 100 000 ans environ se sont répétés au cours de cette période. Chaque cycle commence par un réchauffement brutal suivi d’une période chaude de 10 000 à 20 000 ans environ, appelée période interglaciaire. Cette période est suivie par un refroidissement progressif et l'installation d’une ère glaciaire. À la fin de la glaciation, un réchauffement brutal amorce un nouveau cycle. Nous vivons actuellement depuis plus de 10 000 ans dans une période interglaciaire.


    Plusieurs changements ont été observés dans le monde qui semblent cohérents avec l'existence d'un réchauffement climatique planétaire.

    En Antarctique, les mesures par satellites, faites depuis 1979 ne montrent pas actuellement de diminution de surface, contrairement à la banquise Arctique.

     

    Selon le troisième rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat ), la répartition des précipitations s'est modifiée au cours du XXe siècle. En particulier, les précipitations seraient devenues plus importantes aux latitudes moyennes et hautes de l'hémisphère Nord, et moins importantes dans les zones subtropicales de ce même hémisphère. D'autres experts estiment toutefois les données actuelles trop rares et incomplètes pour qu'une tendance à la hausse ou à la baisse des précipitations puisse se dégager sur des zones de cette ampleur. On observe également depuis 1988 une diminution notable de la couverture neigeuse printanière aux latitudes moyennes de l'hémisphère nord. Cette diminution est préoccupante car cette couverture neigeuse contribue à l'humidité des sols et aux ressources en eau.

    On observe un réchauffement des océans, qui diminue avec la profondeur. On estime que les océans ont absorbé à ce jour plus de 80 % de la chaleur ajoutée au système climatique. Ce réchauffement entraîne une montée du niveau de la mer par dilatation thermique des océans. Différentes données obtenues à l'aide de marégraphes et de satellites ont été étudiées.


    Il existe un fort consensus dans la communauté scientifique sur le rôle prédominant des activités humaines dans le réchauffement climatique du dernier demi-siècle, sa probabilité étant estimée à plus de 90 % par le dernier rapport du GIEC en 2007.

     


    Voici quelques images pour nous convaincre de préserver notre belle planète :

     

     
     
     
     
     
     
     
    PRESERVONS NOTRE BELLE PLANETE!
     
     


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    Une semaine vient de passer,riche en anniversaires dans notre petite famille :

     


    Le papa COULI, le 09 Novembre, 35 ans.


    MATTEO, le 13 Novembre, 3 ans   &   MAEVA, le 14 Novembre, 5 ans.

     

    Mes enfants,lorsque nous vous regardons,
    Nous voyons de l'eau dans vos yeux,
    Un Amour infini vers les Cieux,
    Vous êtes notre bastion...

    Vos yeux sont des lacs clairs,
    Où se perdent nos chagrins,
    Et notre vie s'attarde aux confins
    Bleutés de leur douce frontière..

    Vous êtes notre grande providence,
    Quand vous riez,vous nous apportez la chance,
    Une embellie au goût d'éternité,
    Un doux remède à la morosité...

    Vous nous offrez la fleur,
    A l'iris de vos yeux,la candeur,
    La joie pure de votre espérance,
    Un baume sur nos souffrances...

     


    Vous êtes notre joyau au coeur pur,  
    Notre plus belle réussite ici-bas,
    Votre regard est encore un pas
    Allant vers l'Amour qui perdure...

    MAEVA,MATTEO,nous vous aimons,car vos yeux
    Sont le reflet du temps passé,
    En partance vers notre réalité,
    Votre regard et votre Amour nous sont précieux.


    Notre petite famille réunie.


    Et après...

    La distribution des cadeaux...



     

     

     

     


     

     

     


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